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«Si caractéristiques et si pittoresques», telles sont, selon Szymanowski, la musique et les danses des montagnes polonaises. Sous la baguette de Marta Gardolińska, l’archet de Thomas Zehetmair y vise les sommets du lyrisme. Tchaïkovski et Lutosławski complètent ce panorama polonais.
Programme
«Polonaise», extraite de Eugène Onéguine
Concerto pour violon n° 2, op. 61
Concerto pour orchestre
Distribution
Directrice musicale de l’Opéra national de Lorraine (Nancy), Marta Gardolińska peut contempler avant chaque concert la statue de l’ex-roi de Pologne Stanislas Leszczynski, bienfaiteur du duché de Lorraine et de sa capitale, sur la somptueuse place qui porte son nom. Distinguée en 2016 par la Fondation Teraz Polska pour son rôle dans la diffusion de la musique polonaise, la native de Varsovie se présente donc au public lyonnais dans un programme idoine. La brillantissime «Polonaise» d’Eugène Onéguine donne le la. Puis le Deuxième Concerto pour violon de Szymanowski fait écho à la musique populaire des monts Tatras. Quant au Concerto pour orchestre, la partition maîtresse de Lutosławski, il relève le défi d’inscrire les traditions folkloriques de la région de Kurpie dans des formes baroques. Entre romantisme et modernité, la musique polonaise dans toute son authenticité.