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Si l’on s’en tient aux actes de naissance des œuvres, ce programme de Leonard Slatkin est 100 % américain. Mais y a-t-il plus tchèque que la symphonie new-yorkaise de Dvořák, étreinte par le souvenir mélancolique de la terre natale ?
Programme
Ouverture de Candide
Suite de Billy the Kid
Symphonie n° 9, en mi mineur, op. 95, «Du Nouveau Monde»
Distribution
On ne compte plus les œuvres américaines que le directeur musical honoraire de l’Orchestre national de Lyon nous aura fait découvrir ou redécouvrir. Avec la suite du ballet Billy the Kid, il nous entraîne sur les traces du célèbre bandit, de ses premières bagarres à sa capture et à sa mort. Mais ce western musical est surtout un hymne aux vastes espaces de l’Ouest américain, que traversent des airs de cow-boys – le piccolo en «siffle» un dès le premier mouvement, où Billy chevauche dans les Grandes Plaines. Avec l’ouverture de son opérette voltairienne Candide, le compositeur de West Side Story nous offre un de ses morceaux les plus pétillants. Première œuvre composée par Dvořák sur le sol américain, début 1893, la Neuvième Symphonie ne reçut son célèbre sous-titre qu’in extremis. Américaine, tchèque ? Dvořák lui-même s’interrogeait. Une chose est certaine : le triomphe de sa première exécution, au Carnegie Hall de New York, ne s’est jamais démenti.
La représentation du 28 mars est un concert Relax.
Relax permet le partage des lieux culturels dans une atmosphère accueillante et détendue, facilitant la venue de personnes dont le handicap peut parfois entraîner des comportements atypiques pendant la représentation.
En partenariat avec Culture Relax.