Autour de la «Mort d’Isolde», la conclusion si époustouflante du Tristan et Isolde de Wagner, Cécile De Boever et les musiciens de l’Orchestre national de Lyon ont bâti un programme à la gloire du lyrisme, du romantisme et de la poésie.
Programme
Trois Mélodies sur des poèmes de Paul Éluard, Marceline Desbordes-Valmore et Roger Kowalski
Romance pour violoncelle et piano en la majeur, op. 60
«Im Treibhaus» et «Schmerzen», extraits des Wesendonck-Lieder
«Mort d’Isolde», extraite de Tristan et Isolde
Quatuor avec piano
«Um Mitternacht», «Ich atmet’ einen linden Duft» et «Liebst du um Schönheit», extraits des Rückert-Lieder
Distribution
La figure légendaire d’Yseult a inspiré à Wagner deux partitions extraordinaires : Tristan et Isolde, qui se conclut par la bouleversante mort d’amour de l’héroïne, et un cycle de lieder sur des poèmes de sa maîtresse Mathilde Wesendonck, qu’il appelait «[s]on Isolde». Le lyrisme est ici à son sommet d’ivresse et de sensualité. De lyrisme, la Romance de Fauré et le Quatuor avec piano de Mahler ne manquent pas non plus, même s’il se décline sous une forme moins capiteuse, plus frémissante, à fleur de peau. Cette célébration de la mélodie qui vous saisit et vous enveloppe est complète avec les Rückert-Lieder de Mahler et les Trois Mélodies d’Andréane Détienne – qui sera elle-même au violon ; la dernière repose sur un poème du Lyonnais Roger Kowalski, honoré par le mur peint littéraire de la rue de la Platière, au coin du quai de la Pêcherie.
*Nouveau* Avec la carte Tout L’AO (10 €) bénéficiez de 15 % de réduction sur chaque place achetée. En savoir +
À partir de 4 concerts, abonnez-vous et bénéficiez de nombreux avantages. En savoir +