Fermeture estivale

Nous vous informons que le guichet de billetterie est fermé du samedi 20 juillet au lundi 19 août 2024 inclus. Pendant cette période, vous pouvez continuer à réserver vos places à l’unité ou vous abonner en ligne. Pour toute question, vous pouvez également nous écrire à onl.billetterie@mairie-lyon.fr, nous vous répondrons à partir du 20 août. Nous vous souhaitons un très bel été.

Symphonique | Orchestre national de Lyon

Ravel

Nikolaj Szeps-Znaider / Ibrahim Maalouf

jeu. 6 mar | ven. 7 mar
Réserver
Ibrahim Maalouf

Ravel

jeu. 6 mar | ven. 7 mar

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Le 7 mars 2025, Ravel aurait eu 150 ans. À cette occasion, l’Auditorium qui porte son nom et souffle, lui, 50 bougies résonne de sa musique ; et l’hommage que lui rend la star de la trompette jazz Ibrahim Maalouf démontre s’il en était besoin que l’auteur du Boléro est toujours d’actualité.

Programme

Maurice Ravel

Alborada del Gracioso

8 min
Manuel de Falla

Le Tricorne, suite d’orchestre n° 2

15 min
Ibrahim Maalouf

Boléro pour Ravel (commande de l’Auditorium-Orchestre national de Lyon, de la Philharmonie de Paris et de l’Orchestre de Pau-Béarn)

15 min
Richard Strauss

Le Chevalier à la rose, suite d’orchestre

25 min
Maurice Ravel

La Valse, poème chorégraphique

13 min

Distribution

Ibrahim Maalouf
trompette

Baptisé Maurice-Ravel à son inauguration, l’Auditorium est toujours resté fidèle à sa figure tutélaire. Jouer Ravel, c’est l’assurance de voyager au loin, dans tous ces pays que le compositeur basque a rêvés : l’Espagne pittoresque du «Gracioso», le bouffon des comédies espagnoles ; la Vienne en décomposition après la Première Guerre, dans cette Valse qui se clôt sur un spectaculaire effondrement. À cette Espagne et cette Vienne fantasmées répondent celles, bien réelles, de Manuel de Falla et Richard Strauss. Ibrahim Maalouf apporte sa contribution à cet hommage avec son Boléro pour Ravel, concerto dont il est lui-même le soliste et qui sera donné en première mondiale à Pau quelques jours avant d’être dévoilé à l’Auditorium, puis de gagner Paris. Maalouf y salue son aîné «sans essayer d’imiter, sans risquer d’abîmer son génie», comme «un poème écrit à sa mémoire».
 

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