Fermeture estivale

Nous vous informons que le guichet de billetterie est fermé du samedi 20 juillet au lundi 19 août 2024 inclus. Pendant cette période, vous pouvez continuer à réserver vos places à l’unité ou vous abonner en ligne. Pour toute question, vous pouvez également nous écrire à onl.billetterie@mairie-lyon.fr, nous vous répondrons à partir du 20 août. Nous vous souhaitons un très bel été.

SAISON ARCHIVÉE | 2021-2022

Symphonique | ONL

Maria João Pires / Nikolaj Szeps-Znaider

Mozart / Beethoven

sam. 13 nov

Information

Le pass sanitaire est requis pour assister à ce concert.

Maria João Pires / Nikolaj Szeps-Znaider

sam. 13 nov

Dire que Maria João Pires excelle dans Mozart est un euphémisme. Ce qu’elle réalise dans sa musique tient du miracle. Et si Nikolaj Szeps-Znaider sort son violon, comment ne pas être aux anges ?

Programme

Ludwig van Beethoven

Sonate pour violon et piano n° 5, en fa majeur, op. 24, «Le Printemps»

22 min
Wolfgang Amadeus Mozart

Concerto pour piano n° 9, en mi bémol, KV 271, «Jeunehomme»

33 min
Ludwig van Beethoven

Symphonie n° 7, en la majeur, op. 92

37 min

Le Mozart de Maria João Pires, c’est l’évidence d’un toucher miraculeux et d’une musicalité sans ostentation ; c’est aussi le drame sous la légèreté, la puissance sous la douceur. Autant de qualités cruciales pour aborder le Neuvième Concerto. Peu importe l’identité de cette demoiselle «Jeunehomme» qui en fut la destinataire – vraisemblablement Victoire Jenamy, la fille de l’illustre maître de ballet français Jean-Georges Noverre. Ce jeune Mozart est irrésistible de grâce et de lumière ; mais il ouvre également, dans le mouvement lent, des abîmes insondables de poésie. Œuvre encore redevable à Mozart et Haydn, la Sonate pour violon et piano «Le Printemps» de Beethoven requiert des qualités similaires et déploie une fraîcheur et un charme irrésistibles. Nikolaj Szeps-Znaider y lâche la baguette pour l’archet le temps d’un duo avec la pianiste portugaise, nous rappelant ainsi quel prodigieux violoniste il est aussi. Après de tels sommets, l’entêtante Septième Symphonie de Beethoven nous gardera dans les sphères les plus élevées.